vendredi 3 juillet 2015


Portrait de l'Abbé SICARD

Peint par Louis François Joseph Alhoy, né le 27 octobre 1760 à Angers  (Anjou, puis département de Maine-et-Loire), mort en mai 1826, à Paris. 

Entre mars et avril 1793, Louis François Joseph Alhoy est nommé instituteur-adjoint, à l'Institut National des Sourds-Muets de Paris.

Au coup d'État du 4 septembre 1797 (18 fructidor an V), l'abbé Roch Ambroise Sicard, qui ne cache pas ses sympathies royalistes, est placé sur les listes de proscription. Il se cache dans les environs de Paris, au faubourg Saint Marceau, et perd momentanément sa place à l'Institut des sourds-muets. Il est également radié de l'Institut nationale, où il avait été nommé dans la section de Grammaire de la troisième Classe (Littérature et Beaux-arts).

 Portrait par deux de ses élèves

Louis François Joseph Alhoy est alors nommé premier instituteur de l'établissement, et, comme "chef de l'École nationale des sourds-muets de Paris", succède à Sicard.

Bénéficiant du rappel des proscrits, Roch Ambroise Sicard peut réapparaître fin 1799. Il retrouve sa place de directeur à l'École nationale des sourds-muets de Paris, place qu'il gardera jusqu'à son décès en 1822.

Louis François Joseph Alhoy, quitte l'École nationale des sourds-muets, et est nommé, à sa création, membre de la Commission administrative des hospices de Paris.

Don du tableau "Portrait de l'Abbé SICARD" de l'auteur à l'Amicale des anciens élèves de l'Institution Nationale des Sourds-Muets de Paris.

Don du tableau "Portrait de l'Abbé SICARD" de l'Amicale des anciens élèves de L'Institution Nationale des Sourds-Muets de Paris à l'Institution Nationale des Sourds-Muets de Paris.




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